End Of Times

Free Party Chronicles - 1998 / 2001

Livia Saavedra

30€
+ FRAIS DE PORT
Sortie prévue : Avril 2025
Un livre de photographies de Livia Saavedra
Préface par Lionel Pourtau

C’est l’histoire vécue de l’entre-deux d’un entre-deux. Si la Free Party des années 90 se pense comme marge souhaitable des dancefloors officiels, elle féconde sa descendance chimérique des années 2000, dont les teknivals de 50 000 personnes sont l’un des visages.

Entre la posture arty énervée des renégats anglais important le format en France en 1992 et le parc d’attractions tapageur de la décennie suivante : le moment suspendu, ce présent étiré de la fin des années 90.

Pour des milliers de parisiens et banlieusards dont Livia Saavedra fait partie, la Free Party, c’est aussi ce qui se passe au-delà du dancefloor et loin du son. Ces terrains familiers des urbains, ces zones d’activités greffées à des dizaines de bourgs, deviennent des fenêtres de sociabilité appréciées des asociaux, des timides, des gentiment dérangés, des franchement fracassés.

À la fin des années 90, la Free Party est déjà une pratique pour weekenders en mal de lâchage temporaire et encore un îlot plein de rêves d’alternatif. Ces photos prises entre 1998 et 2001 sont le journal de la trajectoire d’une étudiante en art, captant l’alentour des enceintes et du dancefloor. Cet espace détente râpeux pour chiller et traîner sans regarder l’heure.

110 pages
Format 24x24cm
Date de publication : Avril 2025
ISBN : 978-2-9589242-9-4

Imprimé en UE

Réalisation graphique : 
Michaël Kawiecki – http://konk.studio

LIVIA SAAVEDRA

Livia Saavedra vit à Paris ou elle naît en 1978, de parents réfugiés politique argentins. Sa vocation photographique se révèle lorsqu’elle se met à documenter les raves illégales de la fin des années 1990 munie de son Pentax K1000, s’embarquant alors dans un travail qui interroge la place du lien et des êtres humains dans un milieu en marge. Ce périple à travers l’Europe est marquant et fondateur de son approche de la photographie.
En 2000, elle intègre l’école de l’image des Gobelins et complète son diplôme par la formation de photojournalisme à l’EMI-CFD en 2002. Après un stage à Nova Magazine, elle commence à réaliser des portraits pour la presse et pour des agences de communication.

À partir de 2011, elle est photographe pour l’ONG WAHA International et engage une dimension humanitaire dans sa pratique en photographiant les femmes atteintes de fistules obstétricales en Éthiopie, sujet qui sera exposé au ministère des Droits des femmes à la demande de la ministre Najat Vallaud-Belkacem et de nombreuses personnalités éthiopiennes. Par la suite, elle couvre les conséquences sociales et économiques des crises.

Fixant des scènes de la vie quotidienne, elle privilégie un regard humain et parfois poétique résolument tourné vers le réel. Il s’agit pour elle de raconter la vie des personnes qu’elle rencontre, de montrer celles et ceux que personne ne voit.

En 2020, le travail de Livia Saavedra est distingué par le prix IWPA pour sa série « Ebola par temps de guerre » exposée la même année au festival Les femmes s’exposent, à Houlgate.

En 2021, son reportage « Les gardiennes des communautés » a été publié dans Mediapart. Il a reçu par la suite le grand prix Fuji-Les femmes s’exposent 2022.

Elle collabore avec l’Humanité, Libération, Les Echos, La Croix Hebdo ou ELLE.

End Of Times – Free Party Chronicles 1998 / 2001 est son premier livre.

Prix :

  • Juin 2022 : Grand prix Fuji-Les femmes pour
    « Les gardiennes des communautés »
  • Mai 2020 : Prix IWPA, Canon découverte pour
    « Ebola par temps de guerre »
expédition partout dans le monde / WORLDWIDE SHIPPING
Logo-laposte
Partager
Facebook
X
LinkedIn
Telegram
Threads
WhatsApp
Reddit
Pinterest
Email